Livraison gratuite* pour les commandes de 49$+

Livraison au Québec. Certains produits peuvent être exclus de la livraison gratuite (ex: mobilier de bureau, coffres-forts, etc.)

0
Votre panier est actuellement vide

Mon panier - Commande rapide

Appuyer et déplacer pour zoomer
Passer en survol sur l'image pour zoomer

Sur les traces d'Abraham Ulrikab

Par Rivet, France
LV574259
(9780993674099)

Votre prix

  • 14,95$ /unité

Format ePub
14,95$ /unité
(9780993674099)
Numérique

En août 1880, deux familles inuites du Labrador acceptent l’offre du Norvégien Johan Adrian Jacobsen de devenir la plus récente attraction des spectacles ethnographiques présentés dans des zoos. Parmi eux, Abraham, un homme chrétien de 35 ans qui espère ainsi gagner suffisamment d’argent pour lui permettre d’améliorer les conditions de vie de sa famille. Le groupe est exhibé à Hambourg, Berlin, Prague, Francfort, Darmstadt, Krefeld et Paris. Très vite, les Inuits comprennent leur erreur et ils n’ont plus qu’un souhait, celui de rentrer chez eux. « Un an à passer, c'est bien trop long parce que nous voudrions rentrer vite dans notre pays, parce que nous sommes incapables de rester toujours ici. Oui vraiment! C’est impossible! », écrit Abraham. Malheureusement, le destin en décide autrement. Moins de quatre mois après leur arrivée en Europe, le groupe est décimé par la variole. Bien qu’Abraham et Johan Adrian Jacobsen aient tous deux laissé des journaux personnels, l’histoire des « Esquimaux » du Labrador est, jusqu’à ce jour, restée incomplète. Où les Inuits ont-ils été enterrés? Qu’est-il advenu de leurs restes? En 2010, intriguée, France Rivet s'est mise à fouiller. De découverte en découverte, des pans insoupçonnés de l'histoire sont apparus. Quatre ans et trois voyages de recherche en Europe plus tard, Sur les traces d'Abraham Ulrikab révèle les résultats de cette investigation.

En août 1880, deux familles inuites du Labrador acceptent l’offre du Norvégien Johan Adrian Jacobsen de devenir la plus récente attraction des spectacles ethnographiques présentés dans des zoos. Parmi eux, Abraham, un homme chrétien de 35 ans qui espère ainsi gagner suffisamment d’argent pour lui permettre d’améliorer les conditions de vie de sa famille. Le groupe est exhibé à Hambourg, Berlin, Prague, Francfort, Darmstadt, Krefeld et Paris. Très vite, les Inuits comprennent leur erreur et ils n’ont plus qu’un souhait, celui de rentrer chez eux. « Un an à passer, c'est bien trop long parce que nous voudrions rentrer vite dans notre pays, parce que nous sommes incapables de rester toujours ici. Oui vraiment! C’est impossible! », écrit Abraham. Malheureusement, le destin en décide autrement. Moins de quatre mois après leur arrivée en Europe, le groupe est décimé par la variole. Bien qu’Abraham et Johan Adrian Jacobsen aient tous deux laissé des journaux personnels, l’histoire des « Esquimaux » du Labrador est, jusqu’à ce jour, restée incomplète. Où les Inuits ont-ils été enterrés? Qu’est-il advenu de leurs restes? En 2010, intriguée, France Rivet s'est mise à fouiller. De découverte en découverte, des pans insoupçonnés de l'histoire sont apparus. Quatre ans et trois voyages de recherche en Europe plus tard, Sur les traces d'Abraham Ulrikab révèle les résultats de cette investigation.

Détails