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Comptines

Par MARCHAND, ALAIN BERNARD
LV570085
(9782894194928)

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(9782894194935)
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En guise de reconnaissance et grâce à la mémoire, l’œuvre retrace ici le temps d’une vie. D’hier à aujourd’hui, du commencement à la fin, les souvenirs défilent sous nos yeux et réalisent un émouvant film muet. Nous y assistons dans la salle de projection privée du poète. « C’est d’abord le soleil qu’on regarde de face, puis la mer qui aurait perdu ses eaux. Des formes crépitent et surgissent. Me voilà en dix-huit images par seconde projeté sur un pan de mur. » Ce recueil est le dernier volet d’un triptyque. Aux lieux reparcourus en exilé dans Jours inouïs et aux airs réinterprétés par le poème dans Chants d’un autre siècle succède dans Comptines la reconstitution d’une langue profondément maternelle par laquelle se perpétue le théâtre des origines. Et par laquelle un fils apprend ce qui dans la vie ou dans l’art est nourricier. « Je pince la flamme avec le pouce et l’index. Mais, pfuitt, la mémoire s’alimente d’autres clartés. »

En guise de reconnaissance et grâce à la mémoire, l’œuvre retrace ici le temps d’une vie. D’hier à aujourd’hui, du commencement à la fin, les souvenirs défilent sous nos yeux et réalisent un émouvant film muet. Nous y assistons dans la salle de projection privée du poète. « C’est d’abord le soleil qu’on regarde de face, puis la mer qui aurait perdu ses eaux. Des formes crépitent et surgissent. Me voilà en dix-huit images par seconde projeté sur un pan de mur. » Ce recueil est le dernier volet d’un triptyque. Aux lieux reparcourus en exilé dans Jours inouïs et aux airs réinterprétés par le poème dans Chants d’un autre siècle succède dans Comptines la reconstitution d’une langue profondément maternelle par laquelle se perpétue le théâtre des origines. Et par laquelle un fils apprend ce qui dans la vie ou dans l’art est nourricier. « Je pince la flamme avec le pouce et l’index. Mais, pfuitt, la mémoire s’alimente d’autres clartés. »

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