Où sont les joueurs francophones du Tricolore?

Où les célèbres Flying Frenchmen des Canadiens de Montréal sont-ils passés ? Alors que les joueurs francophones ont longtemps été au cœur de l’équipe, ils ne sont plus aujourd’hui que quelques-uns. Le club aurait-il tourné le dos à ce qui était la marque de son identité, à savoir l’équipe emblématique des joueurs francophones ? Le jour où Québec obtiendra de nouveau une équipe de la LNH, quelle sera la place du CH dans le cœur des fans de hockey francophones ? Est-il possible, malgré la transformation du monde du hockey, de recréer un noyau de joueurs francophones et de miser sur cet avantage concurrentiel ? Chiffres à l’appui, l’auteur examine l’évolution de la place des joueurs francophones chez les Canadiens comparativement à leur situation d’ensemble dans la Ligue nationale, explique pourquoi il est important pour les Canadiens de maintenir cette tradition d’un fort contingent de joueurs francophones et analyse le travail des directeurs généraux depuis 30 ans, de Serge Savard à Marc Bergevin.

Où les célèbres Flying Frenchmen des Canadiens de Montréal sont-ils passés ? Alors que les joueurs francophones ont longtemps été au cœur de l’équipe, ils ne sont plus aujourd’hui que quelques-uns. Le club aurait-il tourné le dos à ce qui était la marque de son identité, à savoir l’équipe emblématique des joueurs francophones ? Le jour où Québec obtiendra de nouveau une équipe de la LNH, quelle sera la place du CH dans le cœur des fans de hockey francophones ? Est-il possible, malgré la transformation du monde du hockey, de recréer un noyau de joueurs francophones et de miser sur cet avantage concurrentiel ? Chiffres à l’appui, l’auteur examine l’évolution de la place des joueurs francophones chez les Canadiens comparativement à leur situation d’ensemble dans la Ligue nationale, explique pourquoi il est important pour les Canadiens de maintenir cette tradition d’un fort contingent de joueurs francophones et analyse le travail des directeurs généraux depuis 30 ans, de Serge Savard à Marc Bergevin.