Livraison gratuite* pour les commandes de 75$+ | Ramassage gratuit en tout temps !

Livraison au Québec. Certains produits peuvent être exclus de la livraison gratuite (ex: mobilier de bureau, coffres-forts, etc.)

0
Votre panier est actuellement vide

Mon panier - Commande rapide

Esquisse d'une sémiophysique

Par Thom, René
978-2-7062-3810-9
(9782706238109)

Votre prix

  • 11,99$ /unité

Format PDF
11,99$ /unité
(9782706238109)
Numérique
Format ePub
11,99$ /unité
978-2-7062-0477-7
(9782706204777)
Numérique

Ce livre se compose de deux grandes parties. La première expose les grandes lignes d’une physique des formes signifiantes : la Sémiophysique. L’auteur s’efforce d’y répondre à la question suivante : « Supposons qu’un observateur naïf contemple un “spectacle” de formes naturelles, évoluant au cours du temps. A quelle condition pourra-t-il attribuer un sens à ce qu’il voit ? » Pour René Thom, la réponse réside dans la nécessité de la présence de deux types d’objets : des êtres stables (formes saillantes en contraste avec leur environnement) et des entités en principe invisibles : les prégnances. La seconde partie propose une lecture catastrophiste de la Physique aristotélicienne. L’auteur en présente une “axiomatique”, et traite des perspectives aristotéliciennes en Biologie. Le dernier chapitre s’intéresse au langage et montre comment certains modèles linguistiques modernes pourraient s’intégrer dans le cadre de la théorie aristotélicienne. L’auteur fait observer à ceux qui jugent la doctrine d’Aristote périmée qu’on trouve chez ce dernier une philosophie matérialiste et néanmoins régie par la forme et les causes finales.
Ce livre se compose de deux grandes parties. La première expose les grandes lignes d’une physique des formes signifiantes : la Sémiophysique. L’auteur s’efforce d’y répondre à la question suivante : « Supposons qu’un observateur naïf contemple un “spectacle” de formes naturelles, évoluant au cours du temps. A quelle condition pourra-t-il attribuer un sens à ce qu’il voit ? » Pour René Thom, la réponse réside dans la nécessité de la présence de deux types d’objets : des êtres stables (formes saillantes en contraste avec leur environnement) et des entités en principe invisibles : les prégnances. La seconde partie propose une lecture catastrophiste de la Physique aristotélicienne. L’auteur en présente une “axiomatique”, et traite des perspectives aristotéliciennes en Biologie. Le dernier chapitre s’intéresse au langage et montre comment certains modèles linguistiques modernes pourraient s’intégrer dans le cadre de la théorie aristotélicienne. L’auteur fait observer à ceux qui jugent la doctrine d’Aristote périmée qu’on trouve chez ce dernier une philosophie matérialiste et néanmoins régie par la forme et les causes finales.

Détails

Du même auteur