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Le meilleur c'est l'autre

Par Grudet, Claude
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(9782403057720)

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Pourquoi celle qui se fit un prénom célèbre dans le monde entier en créant un réseau de call-girls et qui vit seule depuis plus de vingt ans peut-elle se croire habilitée à aider les femmes dans la vie quotidienne du couple ? « Justement en raison des confidences que m’ont faites ces centaines d’hommes, la plupart mariés, qui vinrent à mon bureau surtout chercher ce que leur femme ne leur donnait que parcimonieusement : l’attention. Malgré les acquis certains des mouvements féministes, les mentalités, et notamment la mentalité masculine, restent profondément inchangées. – Nous vivons dans un chaos social redoutable et celles qui s’installent encore dans la sécurité conjugale de leur grand-mère risquent de lourdes déceptions. Passé 45 ans, la femme n’est, dans le domaine de la séduction, plus l’égale de l’homme. Et la démographie joue contre elle. Le nier, c’est se tromper dans ses révoltes. Les rapports – homme et femme – sont sans merci. On ne s’attendrit plus sur la femme plaquée. Elle est censée avoir appris à endosser la responsabilité de sa vie. – L’homme, fondamentalement plus fragile, a un besoin absolu que l’on s’intéresse à lui, qu’on l’admire. Il croit, et on l’a élevé dans cette idée, que toute la vie du monde pèse sur lui. Et, pour ma part, j’estime que c’est à la femme, plus solide, plus perfectible, de prendre en main les responsabilités du couple. On me reprochera peut-être d’enfoncer des portes ouvertes et d’être un peu rétrograde, mais je crois sincèrement qu’être femme, vouloir un compagnon, garder un mari, cela s’apprend et c’est souvent si simple et si banal qu’on n’y pense même plus. C’est peut-être dommage, car après il sera sûrement trop tard » Claude
Pourquoi celle qui se fit un prénom célèbre dans le monde entier en créant un réseau de call-girls et qui vit seule depuis plus de vingt ans peut-elle se croire habilitée à aider les femmes dans la vie quotidienne du couple ? « Justement en raison des confidences que m’ont faites ces centaines d’hommes, la plupart mariés, qui vinrent à mon bureau surtout chercher ce que leur femme ne leur donnait que parcimonieusement : l’attention. Malgré les acquis certains des mouvements féministes, les mentalités, et notamment la mentalité masculine, restent profondément inchangées. – Nous vivons dans un chaos social redoutable et celles qui s’installent encore dans la sécurité conjugale de leur grand-mère risquent de lourdes déceptions. Passé 45 ans, la femme n’est, dans le domaine de la séduction, plus l’égale de l’homme. Et la démographie joue contre elle. Le nier, c’est se tromper dans ses révoltes. Les rapports – homme et femme – sont sans merci. On ne s’attendrit plus sur la femme plaquée. Elle est censée avoir appris à endosser la responsabilité de sa vie. – L’homme, fondamentalement plus fragile, a un besoin absolu que l’on s’intéresse à lui, qu’on l’admire. Il croit, et on l’a élevé dans cette idée, que toute la vie du monde pèse sur lui. Et, pour ma part, j’estime que c’est à la femme, plus solide, plus perfectible, de prendre en main les responsabilités du couple. On me reprochera peut-être d’enfoncer des portes ouvertes et d’être un peu rétrograde, mais je crois sincèrement qu’être femme, vouloir un compagnon, garder un mari, cela s’apprend et c’est souvent si simple et si banal qu’on n’y pense même plus. C’est peut-être dommage, car après il sera sûrement trop tard » Claude

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