Un bon conseil

Les décideurs, de plus en plus, s’entourent d’experts, de consultants, d’audits, de conseillers. Qu’apporte un bon conseil ? Des connaissances, des méthodes ? Des outils et des attitudes ? Comment le choisir ? Spécialiste ou généraliste ? Directif ? Complice ? Et quel rôle joue-t-il ? Mercenaire ? Technocrate ? Agent de changement dans la société ? Pierre Zémor propose de multiples regards sur un métier d’action et d’influence. Le conseil est un médiateur. Qu’il intervienne auprès du dirigeant d’entreprise, du directeur d’usine, du responsable du marketing, du haut fonctionnaire ou de l’homme politique, c’est un go between entre les individus, les fonctions, les institutions… entre la théorie et le réel. Naturel alors de s’interroger sur la responsabilité du conseil, sur la tentation d’emprise que peut lui procurer son autorité d’expert. Ses interventions auprès des patrons et des leaders ne sont-elles par des incursions aux marges du pouvoir ? Et le conseil un pouvoir qui ne dit pas son nom ?
Les décideurs, de plus en plus, s’entourent d’experts, de consultants, d’audits, de conseillers. Qu’apporte un bon conseil ? Des connaissances, des méthodes ? Des outils et des attitudes ? Comment le choisir ? Spécialiste ou généraliste ? Directif ? Complice ? Et quel rôle joue-t-il ? Mercenaire ? Technocrate ? Agent de changement dans la société ? Pierre Zémor propose de multiples regards sur un métier d’action et d’influence. Le conseil est un médiateur. Qu’il intervienne auprès du dirigeant d’entreprise, du directeur d’usine, du responsable du marketing, du haut fonctionnaire ou de l’homme politique, c’est un go between entre les individus, les fonctions, les institutions… entre la théorie et le réel. Naturel alors de s’interroger sur la responsabilité du conseil, sur la tentation d’emprise que peut lui procurer son autorité d’expert. Ses interventions auprès des patrons et des leaders ne sont-elles par des incursions aux marges du pouvoir ? Et le conseil un pouvoir qui ne dit pas son nom ?