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La violence faite aux femmes et l’état de stress post-traumatique

Par Benoît, Monique
LV686858
(9782897441197)

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(9782897441180)
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La violence conjugale provoque des traumatismes graves chez les femmes qui la subissent et peut mener jusqu’au développement d’un état de stress post-traumatique (ÉSPT). Comme la recherche sur ce trouble est incomplète – elle s’intéresse généralement aux anciens combattants –, le présent ouvrage examine, à partir de témoignages recueillis auprès de victimes et d’intervenantes du Centre Victoria pour femmes et du Centre de counselling de Sudbury, les liens entre la violence conjugale et l’ÉSPT, et plaide l’urgence d’intégrer ce diagnostic aux programmes de traitement offerts aux femmes. L’ouvrage se penche également sur le contexte sociopolitique et culturel de la violence faite aux femmes. À cet égard, il évalue que si les centres d’aide de Sudbury réussissent à offrir un soutien de première ligne, ils ne parviennent pas à prendre adéquatement en charge l’ÉSPT avec lequel une part de leur clientèle doit composer – et ce, particulièrement dans les milieux francophones minoritaires. C’est pourquoi il milite pour l’adoption d’une thérapie cognitivo-féministe et l’élaboration d’une offre de soins impliquant la collaboration de plusieurs intervenants : travailleuses communautaires, psychologues, forces de l’ordre, etc. Cette approche intégrée permettrait de donner aux victimes le soutien dont elles ont besoin pour vivre pleinement à nouveau.

La violence conjugale provoque des traumatismes graves chez les femmes qui la subissent et peut mener jusqu’au développement d’un état de stress post-traumatique (ÉSPT). Comme la recherche sur ce trouble est incomplète – elle s’intéresse généralement aux anciens combattants –, le présent ouvrage examine, à partir de témoignages recueillis auprès de victimes et d’intervenantes du Centre Victoria pour femmes et du Centre de counselling de Sudbury, les liens entre la violence conjugale et l’ÉSPT, et plaide l’urgence d’intégrer ce diagnostic aux programmes de traitement offerts aux femmes. L’ouvrage se penche également sur le contexte sociopolitique et culturel de la violence faite aux femmes. À cet égard, il évalue que si les centres d’aide de Sudbury réussissent à offrir un soutien de première ligne, ils ne parviennent pas à prendre adéquatement en charge l’ÉSPT avec lequel une part de leur clientèle doit composer – et ce, particulièrement dans les milieux francophones minoritaires. C’est pourquoi il milite pour l’adoption d’une thérapie cognitivo-féministe et l’élaboration d’une offre de soins impliquant la collaboration de plusieurs intervenants : travailleuses communautaires, psychologues, forces de l’ordre, etc. Cette approche intégrée permettrait de donner aux victimes le soutien dont elles ont besoin pour vivre pleinement à nouveau.

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