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La baleine

Par Apruz, Daniel
978-2-402-53637-0
(9782402536370)

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978-2-402-20304-3
(9782402203043)
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Il s’agit d’un roman picaresque. Si l’on y prend tout littéralement c’est un récit d’aventures invraisemblables. Mais symboliquement il signifie tout autre chose : c’est une « représentation ». D’où le peu d’importance accordée à la psychologie des personnages. Ce qui importe c’est la signification générale que prend tel ou tel acte, telle situation inventée par rapport au réel, et la manière de dire, de projeter, de représenter. À travers une suite d’épisodes bouffons ou fantasques, l’auteur exprime quelques-unes des obsessions contemporaines qu’il croit réelles : le cancer, l’argent, le béton, la sexualité, la violence, la folie… la peur surtout ! Le monde est déshumanisé et refusé… mais sans discours, simplement, en filigrane. « La Baleine » est un roman d’un style, d’une violence peu communs. Il faudrait remonter à Céline pour en reconnaître l’équivalent. Mais celui-ci est bien de notre temps, véritablement, profondément révolutionnaire. Mais aussi désespéré.
Il s’agit d’un roman picaresque. Si l’on y prend tout littéralement c’est un récit d’aventures invraisemblables. Mais symboliquement il signifie tout autre chose : c’est une « représentation ». D’où le peu d’importance accordée à la psychologie des personnages. Ce qui importe c’est la signification générale que prend tel ou tel acte, telle situation inventée par rapport au réel, et la manière de dire, de projeter, de représenter. À travers une suite d’épisodes bouffons ou fantasques, l’auteur exprime quelques-unes des obsessions contemporaines qu’il croit réelles : le cancer, l’argent, le béton, la sexualité, la violence, la folie… la peur surtout ! Le monde est déshumanisé et refusé… mais sans discours, simplement, en filigrane. « La Baleine » est un roman d’un style, d’une violence peu communs. Il faudrait remonter à Céline pour en reconnaître l’équivalent. Mais celui-ci est bien de notre temps, véritablement, profondément révolutionnaire. Mais aussi désespéré.

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