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La Bête ravissante en forme de loup

Par Cheneraille, Joseph
LV563010
(9782876739772)

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LV563010
(9782876739789)
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C’est un texte sur l’enfance, la part de solitude qu’elle peut contenir, une enfance que l’entourage semble mal comprendre, un peu comme si l’enfant était plus intelligent que les adultes.Alors, il y a la campagne, dans un pays de montagne à vaches, que l’enfant ne réalise pas être l’Auvergne, car lui et elle ne font qu’un, ou presque, cette campagne de paysans, avec qui il entre en profonde sympathie, car sans doute elle le guérit, par l’évasion qu’elle lui offre. Il y a aussi la salle de classe, l’école, où se fond l’univers, des lieux où monde intérieur et extérieur se mélangent dans une confondante, mystérieuse et dangereuse confusion. La solitude se remplit d’un imaginaire où affleurent de petites mythologies enfantines, où viennent les Confédérés, le Tour de France, les champions du passé, bien sûr l’Histoire.Alors la fuite peut s’organiser vers les mystères familiaux, généalogiques que les multiples deuils ne cessent d’activer, les figures tutélaires, les vivants prestigieux et les morts jamais inquiétants, que l’enfant comprend être ceux par qui les interrogeant, il obtiendra les réponses que les adultes ne sont pas capables, englués qu’ils sont, de lui donner.Alors s’organise le grand voyage vers la mère de la mère, trop tôt disparue, et par l’oncle, et par ce monde cévenol, il remonte le temps pour y puiser de quoi construire son identité, sa vie, son futur. Avec la branche maternelle qui rend tout son prestige, toute sa superbe, mais un peu dans les douleurs, – tout de même.

C’est un texte sur l’enfance, la part de solitude qu’elle peut contenir, une enfance que l’entourage semble mal comprendre, un peu comme si l’enfant était plus intelligent que les adultes.Alors, il y a la campagne, dans un pays de montagne à vaches, que l’enfant ne réalise pas être l’Auvergne, car lui et elle ne font qu’un, ou presque, cette campagne de paysans, avec qui il entre en profonde sympathie, car sans doute elle le guérit, par l’évasion qu’elle lui offre. Il y a aussi la salle de classe, l’école, où se fond l’univers, des lieux où monde intérieur et extérieur se mélangent dans une confondante, mystérieuse et dangereuse confusion. La solitude se remplit d’un imaginaire où affleurent de petites mythologies enfantines, où viennent les Confédérés, le Tour de France, les champions du passé, bien sûr l’Histoire.Alors la fuite peut s’organiser vers les mystères familiaux, généalogiques que les multiples deuils ne cessent d’activer, les figures tutélaires, les vivants prestigieux et les morts jamais inquiétants, que l’enfant comprend être ceux par qui les interrogeant, il obtiendra les réponses que les adultes ne sont pas capables, englués qu’ils sont, de lui donner.Alors s’organise le grand voyage vers la mère de la mère, trop tôt disparue, et par l’oncle, et par ce monde cévenol, il remonte le temps pour y puiser de quoi construire son identité, sa vie, son futur. Avec la branche maternelle qui rend tout son prestige, toute sa superbe, mais un peu dans les douleurs, – tout de même.

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