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J'étais la terreur

Par BERTON, BENJAMIN
978-2-366-26064-9
(9782366260649)

Format ePub
(9782366260649)
Numérique

Le 7 janvier 2015, une attaque terroriste menée par deux hommes lourdement armés décime la rédaction de Charlie Hebdo. Le surlendemain, une prise d’otages dans une supérette casher prolonge le cauchemar, tandis qu’en fin d’après-midi, les brigades d’intervention lancent un assaut décisif contre les terroristes. Le weekend des 10 et 11 janvier, près de quatre millions de personnes, se mobilisent en une série de manifestations historiques, sous le mot d’ordre JE SUIS CHARLIE. La République paie cher son unité retrouvée, mais le monde donne l’impression d’aller mieux.Quatre mois plus tard, au petit matin, un homme d’une trentaine d’années, qu’on croyait mort dans l’assaut, s’extirpe d’une fosse creusée dans une forêt picarde, gagne la capitale et entreprend de refaire sa vie. Le frère assassin renaît sous la peau d’un citoyen français ordinaire et bon père de famille. Mais les fantômes de son ancienne vie le hantent et lui rappellent le monstre qu’il a été. Peut-on croire en l’existence de Dieu après avoir commis l’impensable ? Peut-on devenir un homme meilleur quand on a été le pire des hommes ?Roman choc, écrit du point de vue de Chérif Kouachi, J’étais la terreur revient sur l’itinéraire d’un enfant de la République, orphelin à treize ans, que l’énergie, les fréquentations et l’air du temps vont convertir en une arme de guerre au service de la barbarie et du Djihad. Depuis les soirées de la Bande des Buttes-Chaumont jusqu’à un stage déjanté au Yémen, Benjamin Berton propose, de manière tantôt réaliste, humoristique ou grave, une lecture très personnelle de la dérive terroriste. Ni document, ni fable philosophique, J’étais la terreur rappelle que le respect de l’autre, victime ou bourreau, est notre seule obligation.
Le 7 janvier 2015, une attaque terroriste menée par deux hommes lourdement armés décime la rédaction de Charlie Hebdo. Le surlendemain, une prise d’otages dans une supérette casher prolonge le cauchemar, tandis qu’en fin d’après-midi, les brigades d’intervention lancent un assaut décisif contre les terroristes. Le weekend des 10 et 11 janvier, près de quatre millions de personnes, se mobilisent en une série de manifestations historiques, sous le mot d’ordre JE SUIS CHARLIE. La République paie cher son unité retrouvée, mais le monde donne l’impression d’aller mieux.Quatre mois plus tard, au petit matin, un homme d’une trentaine d’années, qu’on croyait mort dans l’assaut, s’extirpe d’une fosse creusée dans une forêt picarde, gagne la capitale et entreprend de refaire sa vie. Le frère assassin renaît sous la peau d’un citoyen français ordinaire et bon père de famille. Mais les fantômes de son ancienne vie le hantent et lui rappellent le monstre qu’il a été. Peut-on croire en l’existence de Dieu après avoir commis l’impensable ? Peut-on devenir un homme meilleur quand on a été le pire des hommes ?Roman choc, écrit du point de vue de Chérif Kouachi, J’étais la terreur revient sur l’itinéraire d’un enfant de la République, orphelin à treize ans, que l’énergie, les fréquentations et l’air du temps vont convertir en une arme de guerre au service de la barbarie et du Djihad. Depuis les soirées de la Bande des Buttes-Chaumont jusqu’à un stage déjanté au Yémen, Benjamin Berton propose, de manière tantôt réaliste, humoristique ou grave, une lecture très personnelle de la dérive terroriste. Ni document, ni fable philosophique, J’étais la terreur rappelle que le respect de l’autre, victime ou bourreau, est notre seule obligation.

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