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L'ange gardien de Montevideo

Par LUCQUIN, CHRISTOPHE
978-2-366-26055-7
(9782366260557)

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L’ange gardien de Montevideo propose un univers qui s’aventure sur des terrains dangereux comme l’absurde, l’hallucination, ou simplement, le délire.Écrit à la manière d’un journal daté, le roman ne se concentre pas sur un seul personnage. On y trouve la présence récurrente du concierge suppléant (Néstor), et d’un supposé écrivain (l’écrivain du 101) qui s’empare à plusieurs reprises de la voix narrative. L’humiliation du débile est constante. Elle est le centre du roman. Ce débile, Néstor, cette marionnette en bois que certains propriétaires surnomment Pinocchio et d’autres tout simplement « l’idiot » est secrètement un ange novice, né de la douleur du monde pour souffrir, et être puni.On l’accuse de se masturber, d’uriner dans le fauteuil de la réception, de s’endormir au travail. Néstor est l’otage de toute la haine qui parcourt la ville, sans passé ni avenir, atroce. « Il est temps de noter dans ce dossier que je vis dans une ville au bord d’un fleuve ; comme le squelette d’une vache qui serait morte de soif avant d’arriver ou bien morte empoisonnée dès la première gorgée. » écrit Polleri.Les dates divisent les épisodes et créent des petites histoires indépendantes les unes des autres, mais reliées entre elles par un fil presque invisible.
L’ange gardien de Montevideo propose un univers qui s’aventure sur des terrains dangereux comme l’absurde, l’hallucination, ou simplement, le délire.Écrit à la manière d’un journal daté, le roman ne se concentre pas sur un seul personnage. On y trouve la présence récurrente du concierge suppléant (Néstor), et d’un supposé écrivain (l’écrivain du 101) qui s’empare à plusieurs reprises de la voix narrative. L’humiliation du débile est constante. Elle est le centre du roman. Ce débile, Néstor, cette marionnette en bois que certains propriétaires surnomment Pinocchio et d’autres tout simplement « l’idiot » est secrètement un ange novice, né de la douleur du monde pour souffrir, et être puni.On l’accuse de se masturber, d’uriner dans le fauteuil de la réception, de s’endormir au travail. Néstor est l’otage de toute la haine qui parcourt la ville, sans passé ni avenir, atroce. « Il est temps de noter dans ce dossier que je vis dans une ville au bord d’un fleuve ; comme le squelette d’une vache qui serait morte de soif avant d’arriver ou bien morte empoisonnée dès la première gorgée. » écrit Polleri.Les dates divisent les épisodes et créent des petites histoires indépendantes les unes des autres, mais reliées entre elles par un fil presque invisible.

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