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Onze ans

Par Aubert, Jean-Baptiste
978-2-366-26107-3
(9782366261073)

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On peine à imaginer qu’un enfant, Kévin, le protagoniste du livre, puisse être mal au point de vouloir mettre fin à ses jours.Et si l’idée du suicide d’un petit garçon, tellement éloignée de la vision que nous avons de l’enfance, n’était pas qu’une monstrueuse exception ? Chaque année, cette exception concerne plus d’une centaine d’enfants âgés de 10 à 14 ans. Sans pathos et avec une certaine dose d’innocence et d’humour le premier roman de Jean-Baptiste Aubert pointe ce tabou majeur. Kévin est hypersensible, il écoute le monde et a décidément beaucoup de mal à le comprendre, d’autant plus qu’il subit un stress important dû à des tensions incessantes entre ses parents. Comment peut-il, sans le cocon famille de protection, apprendre à percevoir le monde ? Naturellement ce climat oppressant gangrène le reste de sa vie : il est plus perméable aux choses, se pose des questions, ses résultats scolaires et ses relations avec ses camarades s’en trouvent affectés. Kévin s’interroge sur la nécessité d’une vie faite de disputes et de malaises. Il finit par se retrouver dans une institution pour enfants en difficultés. Kévin arrivera-t-il à se sortir de ce lot d’enfants qui, comme le dit le neuro-psychiatre Boris Cyrulnik, pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux ? Nous sommes immergés dans la conscience de Kévin qui raconte dans un carnet les événements marquants de sa vie et ses observations sur le monde qui l’entoure, avec un ton juste et des réflexions qui confirment que la vérité sort de la bouche des enfants. Une lecture qui ne peut que nous interpeler et nous émouvoir.
On peine à imaginer qu’un enfant, Kévin, le protagoniste du livre, puisse être mal au point de vouloir mettre fin à ses jours.Et si l’idée du suicide d’un petit garçon, tellement éloignée de la vision que nous avons de l’enfance, n’était pas qu’une monstrueuse exception ? Chaque année, cette exception concerne plus d’une centaine d’enfants âgés de 10 à 14 ans. Sans pathos et avec une certaine dose d’innocence et d’humour le premier roman de Jean-Baptiste Aubert pointe ce tabou majeur. Kévin est hypersensible, il écoute le monde et a décidément beaucoup de mal à le comprendre, d’autant plus qu’il subit un stress important dû à des tensions incessantes entre ses parents. Comment peut-il, sans le cocon famille de protection, apprendre à percevoir le monde ? Naturellement ce climat oppressant gangrène le reste de sa vie : il est plus perméable aux choses, se pose des questions, ses résultats scolaires et ses relations avec ses camarades s’en trouvent affectés. Kévin s’interroge sur la nécessité d’une vie faite de disputes et de malaises. Il finit par se retrouver dans une institution pour enfants en difficultés. Kévin arrivera-t-il à se sortir de ce lot d’enfants qui, comme le dit le neuro-psychiatre Boris Cyrulnik, pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux ? Nous sommes immergés dans la conscience de Kévin qui raconte dans un carnet les événements marquants de sa vie et ses observations sur le monde qui l’entoure, avec un ton juste et des réflexions qui confirment que la vérité sort de la bouche des enfants. Une lecture qui ne peut que nous interpeler et nous émouvoir.

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