Livraison gratuite* pour les commandes de 75$+ | Ramassage gratuit en tout temps !

Livraison au Québec. Certains produits peuvent être exclus de la livraison gratuite (ex: mobilier de bureau, coffres-forts, etc.)

0
Votre panier est actuellement vide

Mon panier - Commande rapide

Appuyer et déplacer pour zoomer
Passer en survol sur l'image pour zoomer

Le Devoir de mémoire. Une formule et son histoire

Par Ledoux, Sébastien
978-2-271-08958-8
(9782271089588)

Votre prix

  • 36,99$ /unité

Format ePub
36,99$ /unité
(9782271089588)
Numérique
Format PDF
36,99$ /unité
978-2-271-08959-5
(9782271089595)
Numérique

D'où vient l'expression " devoir de mémoire " ? Comment s'est-elle imposée dans notre langage courant ? À partir de nombreux entretiens, d'archives inédites et de sources numériques massives, Sébastien Ledoux retrace la trajectoire de cette formule qui éclaire la relation souvent douloureuse que la France entretient avec son histoire récente. Forgé à l'orée des années 1970, le terme investit le débat public dans les années 1990, accompagnant le " syndrome de Vichy " et la réévaluation du rôle de la France dans la mise en œuvre de la Solution finale, avant d'être repris pour évoquer les non-dits de la mémoire coloniale. Doté d'une forte charge émotive, il traverse les débats sur la recomposition du récit national, la place du témoin, le rôle de l'historien, la patrimonialisation du passé ou la reconnaissance des victimes, qui traduisent un tournant majeur et accouchent de nouvelles questions dont l'actualité est toujours brûlante. Ce sont les mutations de la société française des cinquante dernières années qui sont ici analysées par le biais de ses nouveaux rapports au passé que le " devoir de mémoire " est venu cristalliser


D'où vient l'expression " devoir de mémoire " ? Comment s'est-elle imposée dans notre langage courant ? À partir de nombreux entretiens, d'archives inédites et de sources numériques massives, Sébastien Ledoux retrace la trajectoire de cette formule qui éclaire la relation souvent douloureuse que la France entretient avec son histoire récente. Forgé à l'orée des années 1970, le terme investit le débat public dans les années 1990, accompagnant le " syndrome de Vichy " et la réévaluation du rôle de la France dans la mise en œuvre de la Solution finale, avant d'être repris pour évoquer les non-dits de la mémoire coloniale. Doté d'une forte charge émotive, il traverse les débats sur la recomposition du récit national, la place du témoin, le rôle de l'historien, la patrimonialisation du passé ou la reconnaissance des victimes, qui traduisent un tournant majeur et accouchent de nouvelles questions dont l'actualité est toujours brûlante. Ce sont les mutations de la société française des cinquante dernières années qui sont ici analysées par le biais de ses nouveaux rapports au passé que le " devoir de mémoire " est venu cristalliser

Détails

    • Section : -
    • Parution : 2016-01-27
    • Collection : -

Du même auteur