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Quelques heures en juillet

Par Belaieff, André
978-2-307-21866-1
(9782307218661)

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(9782307551997)
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Nice, 15 juillet 1982. Cinq heures du matin. Le jour s’est levé, auréolé de cette brume qui n’existe que sur la Baie des Anges, là-bas aux frontières de la principauté monégasque. Le voile ne se retire jamais complètement, même au zénith. Assis à la terrasse du Café de la gare, un jeune homme ferme les yeux pour savourer le nectar noir qui fume dans une petite tasse. Une fois de plus, les sommnifères n’ont agi sur lui qu’au moment du coucher. L’insomnie l’a torturé dès les premières heures du jour nouveau. Cet homme s’appelle André ou Martin. Qu’importe, le lecteur choisira. André, c’est l’auteur. Martin, c’est le héros. Avec, en commun pour les deux individus, la mort à la dernière page du livre. Quelques heures en juillet est un de ces rares romans autobiographiques où le suspens est aussi violent ; à travers chaque geste du quotidien, une seule constante : la fragilité de la vie. Très imprégné des œuvres de Marguerite Duras, avec qui l’auteur correspondait, cette variation sur la solitude d’un jeune homosexuel épris de littérature, est poignante à force d’authenticité.
Nice, 15 juillet 1982. Cinq heures du matin. Le jour s’est levé, auréolé de cette brume qui n’existe que sur la Baie des Anges, là-bas aux frontières de la principauté monégasque. Le voile ne se retire jamais complètement, même au zénith. Assis à la terrasse du Café de la gare, un jeune homme ferme les yeux pour savourer le nectar noir qui fume dans une petite tasse. Une fois de plus, les sommnifères n’ont agi sur lui qu’au moment du coucher. L’insomnie l’a torturé dès les premières heures du jour nouveau. Cet homme s’appelle André ou Martin. Qu’importe, le lecteur choisira. André, c’est l’auteur. Martin, c’est le héros. Avec, en commun pour les deux individus, la mort à la dernière page du livre. Quelques heures en juillet est un de ces rares romans autobiographiques où le suspens est aussi violent ; à travers chaque geste du quotidien, une seule constante : la fragilité de la vie. Très imprégné des œuvres de Marguerite Duras, avec qui l’auteur correspondait, cette variation sur la solitude d’un jeune homosexuel épris de littérature, est poignante à force d’authenticité.

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