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La vie utile précédé de Errance et tremblements

Par La Chenelière, Évelyne de
LV715560
(9782894196847)

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Durant trois ans, Evelyne de la Chenelière a écrit sur un mur d’Espace GO, construisant de jour en jour la résidence artistique qui allait ébranler profondément sa pratique. Elle raconte ce parcours de création dans l’essai Errance et tremblements. La pièce La vie utile est issue de cette résidence. Jeanne s’affaire dans son appartement quand un homme apparaît : c’est la Mort. En même temps, Jeanne enfant fait une chute mortelle à cheval. On ne sait pas quelle Jeanne rêve de l’autre, laquelle meurt vraiment. En même temps, devant l’agonie de son père, Jeanne enfant décide de ne pas croire en Dieu. En même temps, lors d’une promenade en forêt, la mère de Jeanne lui enseigne maladroitement les grands principes de l’existence. En même temps, les mots tombent, tels des flocons de neige, en désordre. La vie utile allie la reconstitution anarchique du passé à la fabrication d’un avenir incertain, temps superposés comme les différentes couches du mur d’écriture de l’artiste. Une oeuvre palimpseste où la mémoire devient spectacle.

Durant trois ans, Evelyne de la Chenelière a écrit sur un mur d’Espace GO, construisant de jour en jour la résidence artistique qui allait ébranler profondément sa pratique. Elle raconte ce parcours de création dans l’essai Errance et tremblements. La pièce La vie utile est issue de cette résidence. Jeanne s’affaire dans son appartement quand un homme apparaît : c’est la Mort. En même temps, Jeanne enfant fait une chute mortelle à cheval. On ne sait pas quelle Jeanne rêve de l’autre, laquelle meurt vraiment. En même temps, devant l’agonie de son père, Jeanne enfant décide de ne pas croire en Dieu. En même temps, lors d’une promenade en forêt, la mère de Jeanne lui enseigne maladroitement les grands principes de l’existence. En même temps, les mots tombent, tels des flocons de neige, en désordre. La vie utile allie la reconstitution anarchique du passé à la fabrication d’un avenir incertain, temps superposés comme les différentes couches du mur d’écriture de l’artiste. Une oeuvre palimpseste où la mémoire devient spectacle.

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