Livraison gratuite* pour les commandes de 75$+ | Ramassage gratuit en tout temps !

Livraison au Québec. Certains produits peuvent être exclus de la livraison gratuite (ex: mobilier de bureau, coffres-forts, etc.)

0
Votre panier est actuellement vide

Mon panier - Commande rapide

Appuyer et déplacer pour zoomer
Passer en survol sur l'image pour zoomer

Lettres des tranchées

Par de Moissac, Claude
LV63364
(9782924378359)

Votre prix

  • 21,95$ /unité

Format PDF
21,95$ /unité
(9782924378359)
Numérique

« Partout des morts, à moitié pourris, couverts de vers rongeurs; avec cela une odeur atroce, épouvantable […] Pendant deux nuits j’ai couché sur un mort, c’est vous dire le peu de cas que l’on fait, et l’habitude que l’on a de fréquenter la mort; […] L’on ne mange pas là-dedans, l’on n’a pas faim, l’odeur nous dégoûte et l’on répugne tout, surtout la viande… » Sur le front, 5 juin 1915 – Lucien Kern à sa mère. Lucien, Eugène et Aimé Kern sont établis au Canada depuis à peine huit années lorsque la Première Guerre mondiale éclate. Les trois frères répondent à l’appel de la France, leur pays de naissance, laissant derrière eux leur ferme et leur famille. Dès leur départ, ils écrivent à leur mère et à leur sœur demeurées au Manitoba, partageant avec elles leurs inquiétudes, leur ennui, leur tristesse d’être loin de celles et de ceux qu’ils aiment. Cette correspondance de guerre, choisie et présentée par Claude de Moissac, décrit la Première Guerre mondiale telle qu’elle fut vécue par ces trois soldats manitobains. Ces quelque 90 lettres écrites du front brossent un portrait fidèle de la vie dans les tranchées. Elles décrivent de façon éloquente la violence brutale, l’abrutissement et l’horreur de la vie journalière qu’a connus toute une génération d’hommes perdue dans les champs de bataille de l’Europe.

« Partout des morts, à moitié pourris, couverts de vers rongeurs; avec cela une odeur atroce, épouvantable […] Pendant deux nuits j’ai couché sur un mort, c’est vous dire le peu de cas que l’on fait, et l’habitude que l’on a de fréquenter la mort; […] L’on ne mange pas là-dedans, l’on n’a pas faim, l’odeur nous dégoûte et l’on répugne tout, surtout la viande… » Sur le front, 5 juin 1915 – Lucien Kern à sa mère. Lucien, Eugène et Aimé Kern sont établis au Canada depuis à peine huit années lorsque la Première Guerre mondiale éclate. Les trois frères répondent à l’appel de la France, leur pays de naissance, laissant derrière eux leur ferme et leur famille. Dès leur départ, ils écrivent à leur mère et à leur sœur demeurées au Manitoba, partageant avec elles leurs inquiétudes, leur ennui, leur tristesse d’être loin de celles et de ceux qu’ils aiment. Cette correspondance de guerre, choisie et présentée par Claude de Moissac, décrit la Première Guerre mondiale telle qu’elle fut vécue par ces trois soldats manitobains. Ces quelque 90 lettres écrites du front brossent un portrait fidèle de la vie dans les tranchées. Elles décrivent de façon éloquente la violence brutale, l’abrutissement et l’horreur de la vie journalière qu’a connus toute une génération d’hommes perdue dans les champs de bataille de l’Europe.

Détails

    • Section : -
    • Parution : 2007-10-17
    • Collection : -

Du même auteur