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LE RESCAPÉ DE L'ÂME

Par CACCOMO, JEAN-LOUIS
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L’histoire que je vais vous relater est l’histoire de ma vie, totalement basée sur des faits réels que j’ai tour à tour, selon les circonstances, vu, vécu ou subi. Lassé de devoir me battre depuis que je suis né, comme s’il me fallait justifier ma propre existence, je me sens assailli par les ironies de ma vie et cela m’a poussé à sauter le pas, à explorer l’écriture romanesque alors que j’avais pour habitude d’écrire des textes académiques, scientifiques ou politiques. Je laisse au lecteur la liberté de déceler la part du vrai et celle issue de mon interprétation sincère, mais sans doute biaisée. Quant à mes ennemis, ils s’empresseront de s’offusquer, de m’injurier et de me diffamer. Mais, ils m’ont bien fait pires : ils m’ont volé – et violé - ma vie et ma dignité, ce qui est pire que la mort… La réalité dépasse souvent la fiction. C’est la raison pour laquelle les autres ont tendance à ne pas vous croire quand vous dites la vérité alors qu’ils vont prendre pour argent comptant les boniments des gourous en tout genre. J’ai appris, dans ma carrière d’économiste, comme dans ma vie personnelle, que lorsque l’on dit la vérité aux gens, ils ont tendance à fermer les yeux et ils préfèrent s’accrocher aux mensonges qui confortent leurs illusions. La peur du jugement des autres nous rend hypocrite, pour ne pas dire menteur. Mais j’ai appris aussi, dans l’épreuve la plus terrible que puisse subir un être humain, à ne compter sur personne, à n’avoir besoin de personne, pas même de Dieu. J’ai assez à faire avec le diable…Tant d’amis, ou déclarés comme tels contre mon gré, m’ont si rapidement lâchés et oubliés. Mais, celle ou celui qui cesse un jour d’être un ami, c’est qu’il n’a jamais été un ami, il était seulement intéressé. Les épreuves nous apprennent à faire le tri qui s’impose. Je n’ai même pas pu compter sur ma propre famille, si tant est que ce mot ait un sens pour moi. Car, comment peut grandir un enfant qui n’a connu ni grands parents, ni oncles, ni tantes, ni cousins, et qui connait à peine ses propres parents, et si peu ses frères et soeurs. J’ai voulu mourir tant de fois et, ironie du sort, j’ai survécu aux pires épreuves. Je me demande encore pourquoi…
L’histoire que je vais vous relater est l’histoire de ma vie, totalement basée sur des faits réels que j’ai tour à tour, selon les circonstances, vu, vécu ou subi. Lassé de devoir me battre depuis que je suis né, comme s’il me fallait justifier ma propre existence, je me sens assailli par les ironies de ma vie et cela m’a poussé à sauter le pas, à explorer l’écriture romanesque alors que j’avais pour habitude d’écrire des textes académiques, scientifiques ou politiques. Je laisse au lecteur la liberté de déceler la part du vrai et celle issue de mon interprétation sincère, mais sans doute biaisée. Quant à mes ennemis, ils s’empresseront de s’offusquer, de m’injurier et de me diffamer. Mais, ils m’ont bien fait pires : ils m’ont volé – et violé - ma vie et ma dignité, ce qui est pire que la mort… La réalité dépasse souvent la fiction. C’est la raison pour laquelle les autres ont tendance à ne pas vous croire quand vous dites la vérité alors qu’ils vont prendre pour argent comptant les boniments des gourous en tout genre. J’ai appris, dans ma carrière d’économiste, comme dans ma vie personnelle, que lorsque l’on dit la vérité aux gens, ils ont tendance à fermer les yeux et ils préfèrent s’accrocher aux mensonges qui confortent leurs illusions. La peur du jugement des autres nous rend hypocrite, pour ne pas dire menteur. Mais j’ai appris aussi, dans l’épreuve la plus terrible que puisse subir un être humain, à ne compter sur personne, à n’avoir besoin de personne, pas même de Dieu. J’ai assez à faire avec le diable…Tant d’amis, ou déclarés comme tels contre mon gré, m’ont si rapidement lâchés et oubliés. Mais, celle ou celui qui cesse un jour d’être un ami, c’est qu’il n’a jamais été un ami, il était seulement intéressé. Les épreuves nous apprennent à faire le tri qui s’impose. Je n’ai même pas pu compter sur ma propre famille, si tant est que ce mot ait un sens pour moi. Car, comment peut grandir un enfant qui n’a connu ni grands parents, ni oncles, ni tantes, ni cousins, et qui connait à peine ses propres parents, et si peu ses frères et soeurs. J’ai voulu mourir tant de fois et, ironie du sort, j’ai survécu aux pires épreuves. Je me demande encore pourquoi…

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