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Le manque en partage

Par Rondeau, Frédéric
LV639041
(9782760637245)

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(9782760637238)
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Tout au long de leur œuvre, les poètes Michel Beaulieu et Gilbert Langevin se sont immiscés dans la « sombre intimité » de l’homme : le premier accorde une place impor­tante à l’évocation des souvenirs et porte une attention soutenue aux événements rythmant le quotidien ; le second cherche à rendre compte, inlassablement, d’une pauvreté originelle propre à la condition humaine. Influencés par la poésie du pays, les auteurs à l’étude dans cet essai ont emprunté aux courants littéraires des années 1970 (nouvelle écriture et contre-culture), sans toutefois se réclamer à part entière d’un groupe ou d’une esthétique. Difficilement classables, ils se sont plutôt astreints à une démarche et à une recherche poétique résolument individuelles. Ce livre propose une analyse du rapport à la communauté de ces deux poètes constamment tiraillés entre le désir d’appartenir à un ensemble et la volonté de demeurer à l’écart, d’affirmer une irréductible singularité. Pour Beaulieu et Langevin, la véritable filiation ne s’établit pas depuis ce que les hommes partagent, mais bien par ce qui leur manque.

Tout au long de leur œuvre, les poètes Michel Beaulieu et Gilbert Langevin se sont immiscés dans la « sombre intimité » de l’homme : le premier accorde une place impor­tante à l’évocation des souvenirs et porte une attention soutenue aux événements rythmant le quotidien ; le second cherche à rendre compte, inlassablement, d’une pauvreté originelle propre à la condition humaine. Influencés par la poésie du pays, les auteurs à l’étude dans cet essai ont emprunté aux courants littéraires des années 1970 (nouvelle écriture et contre-culture), sans toutefois se réclamer à part entière d’un groupe ou d’une esthétique. Difficilement classables, ils se sont plutôt astreints à une démarche et à une recherche poétique résolument individuelles. Ce livre propose une analyse du rapport à la communauté de ces deux poètes constamment tiraillés entre le désir d’appartenir à un ensemble et la volonté de demeurer à l’écart, d’affirmer une irréductible singularité. Pour Beaulieu et Langevin, la véritable filiation ne s’établit pas depuis ce que les hommes partagent, mais bien par ce qui leur manque.

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