Livraison gratuite* pour les commandes de 75$+ | Ramassage gratuit en tout temps !

Livraison au Québec. Certains produits peuvent être exclus de la livraison gratuite (ex: mobilier de bureau, coffres-forts, etc.)

0
Votre panier est actuellement vide

Mon panier - Commande rapide

Appuyer et déplacer pour zoomer
Passer en survol sur l'image pour zoomer

Aventures dans l’irréalité immédiate

Par GURITANU, Elena
979-1-09-360612-5
(9791093606125)

Votre prix

  • 18,99$ /unité

Format PDF
18,99$ /unité
(9791093606125)
Numérique
Format ePub
18,99$ /unité
979-1-09-360604-0
(9791093606040)
Numérique

« De tous les textes rares, sombres et solaires, têtus et célibataires comme les machines grippées qui les engendrèrent, Aventures dans l’irréalité immédiate demeurera à jamais comme l’un des textes les plus inouïs qu’ait produit un jeune homme promu non à l’envol glorieux mais à la pétrification hurlante. » - Claro Souvent comparé à Schulz, Kafka, Hardellet ou Walser, Max Blecher est ce que l’on peut appeler un « écrivain du sanatorium ». Comme ses pairs, il a souffert dès son plus jeune âge d’une maladie, la tuberculose osseuse, le contraignant à faire de longs séjours en sanatorium. Il meurt en 1938 à l’âge de 29 ans, auteur de trois romans et d’un recueil de poèmes. Si son oeuvre, comme celle de Bruno Schulz ou de Thomas Mann, est irriguée par cet état singulier, l’altérité et le rapport aux corps et aux choses qui en découle, elle semble déployer toute son originalité dans un regard unique porté sur le rapport au monde. Aventures dans l’irréalité immédiate n’entreprend pas directement de rapport avec sa maladie, mais, dans une tentative hallucinée d’approcher d’une réalité autre, il met en scène les expériences sensorielles (potentiellement autobiographiques) d’un jeune garçon dans une petite de ville de province roumaine. C’est à travers sa fascination pour les lieux dits « maudits » et les objets baroques et bon marché qui composent son quotidien que Blecher explore toutes les failles sensibles de la perception et construit une langue unique à même de restituer un état sensoriel.
« De tous les textes rares, sombres et solaires, têtus et célibataires comme les machines grippées qui les engendrèrent, Aventures dans l’irréalité immédiate demeurera à jamais comme l’un des textes les plus inouïs qu’ait produit un jeune homme promu non à l’envol glorieux mais à la pétrification hurlante. » - Claro Souvent comparé à Schulz, Kafka, Hardellet ou Walser, Max Blecher est ce que l’on peut appeler un « écrivain du sanatorium ». Comme ses pairs, il a souffert dès son plus jeune âge d’une maladie, la tuberculose osseuse, le contraignant à faire de longs séjours en sanatorium. Il meurt en 1938 à l’âge de 29 ans, auteur de trois romans et d’un recueil de poèmes. Si son oeuvre, comme celle de Bruno Schulz ou de Thomas Mann, est irriguée par cet état singulier, l’altérité et le rapport aux corps et aux choses qui en découle, elle semble déployer toute son originalité dans un regard unique porté sur le rapport au monde. Aventures dans l’irréalité immédiate n’entreprend pas directement de rapport avec sa maladie, mais, dans une tentative hallucinée d’approcher d’une réalité autre, il met en scène les expériences sensorielles (potentiellement autobiographiques) d’un jeune garçon dans une petite de ville de province roumaine. C’est à travers sa fascination pour les lieux dits « maudits » et les objets baroques et bon marché qui composent son quotidien que Blecher explore toutes les failles sensibles de la perception et construit une langue unique à même de restituer un état sensoriel.

Détails

    • Section : -
    • Parution : 2015-01-07
    • Collection : -

Du même auteur