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Un juge passe aux aveux

Par Batigne, Jacques
978-2-221-23074-9
(9782221230749)

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978-2-221-23073-2
(9782221230732)
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Le président Batigne dirigea pendant huit ans d’importants débats au Tribunal de Paris. Auparavant, “le juge Batigne” avait su mener à bien de délicates instructions. Aujourd’hui, il livre ses souvenirs. Il a connu Eliott Forrest, qui laissait volontiers entendre qu’il monopolisait le commerce clandestin des cigarettes de contrebande à Tanger ; Dellapina, l’as des as de la cambriole ; Gaston Dominici, condamné pour avoir, au soir d’une vie sans histoires, assassiné trois touristes anglais ; Antoine Paolini, dit Planche, qui régnait à Marseille au quartier du Panier et poussait bien au-delà les frontières de son empire ; Mémé Guérini, qui réussit à conserver longtemps un casier judiciaire vierge tout en étant considéré comme le grand caïd du milieu. Il a rencontré la fine équipe des bijoux de la Bégum, confessé la jeune femme couverte de joyaux pour avoir été presque impératrice et dépouillée pour avoir eu la mémoire trop courte ; traqué le faux prêtre qui bénissait les fidèles pour mieux les escroquer. Il a vécu le temps du FLN et de l’OAS, et il fut, huit années durant, le grand spécialiste de la répression du trafic des stupéfiants. Au fil de ses souvenirs, Jacques Batigne, comme il le dit, “passe aux aveux”. Il dénonce lui-même les erreurs et les grincements de la “machine judiciaire”. Il livre le point de vue d’un magistrat sur la peine de mort, les violences policières, la psychologie des hommes du milieu et quelques autres problèmes dont se soucie l’opinion publique. Il dit ce qu’il pense de celui qui les domine tous sans être résolu : l’indépendance de la Magistrature face au Pouvoir.
Le président Batigne dirigea pendant huit ans d’importants débats au Tribunal de Paris. Auparavant, “le juge Batigne” avait su mener à bien de délicates instructions. Aujourd’hui, il livre ses souvenirs. Il a connu Eliott Forrest, qui laissait volontiers entendre qu’il monopolisait le commerce clandestin des cigarettes de contrebande à Tanger ; Dellapina, l’as des as de la cambriole ; Gaston Dominici, condamné pour avoir, au soir d’une vie sans histoires, assassiné trois touristes anglais ; Antoine Paolini, dit Planche, qui régnait à Marseille au quartier du Panier et poussait bien au-delà les frontières de son empire ; Mémé Guérini, qui réussit à conserver longtemps un casier judiciaire vierge tout en étant considéré comme le grand caïd du milieu. Il a rencontré la fine équipe des bijoux de la Bégum, confessé la jeune femme couverte de joyaux pour avoir été presque impératrice et dépouillée pour avoir eu la mémoire trop courte ; traqué le faux prêtre qui bénissait les fidèles pour mieux les escroquer. Il a vécu le temps du FLN et de l’OAS, et il fut, huit années durant, le grand spécialiste de la répression du trafic des stupéfiants. Au fil de ses souvenirs, Jacques Batigne, comme il le dit, “passe aux aveux”. Il dénonce lui-même les erreurs et les grincements de la “machine judiciaire”. Il livre le point de vue d’un magistrat sur la peine de mort, les violences policières, la psychologie des hommes du milieu et quelques autres problèmes dont se soucie l’opinion publique. Il dit ce qu’il pense de celui qui les domine tous sans être résolu : l’indépendance de la Magistrature face au Pouvoir.

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