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Chasses gardées

Par Froissart, Alain
978-2-7062-9855-4
(9782706298554)

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(9782706282294)
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Sport national ? 1 850 000 chasseurs se promènent en France chaque automne, fusil en main, à travers champs et bois. Pourquoi tant de passion ? Un homme est abattu d’une décharge de plombs parce qu’il refuse que l’on chasse sur ses terres. Une famille de promeneurs est mise en joue parce que la cueillette des champignons dérange les chasseurs. Cette enquête, menée minutieusement par deux journalistes, indique que la chasse – mais aussi le braconnage – est une véritable industrie nationale, un marché de six à huit milliards de francs par an. Connaît-on le montant de l’équipement et des frais d’une chasse à courre ? Combien dépense le chasseur « de base » ? Les arguments des chasseurs sont-ils fondés ? Les biologistes, les naturalistes affirment qu’ils ne sont pas des éléments indispensables au maintien de l’équilibre des espèces et qu’ils ne gèrent qu’une partie de la faune, n’accordant de l’intérêt qu’au gibier. Pourquoi les autorités ferment-elles les yeux sur les chasses dites traditionnelles – filets, lacets – théoriquement interdites, mais finalement largement tolérées dans certains départements ? La chasse aurait-elle, comme l’affirment les ethnologues, une fonction tellement symbolique, qu’elle constituerait un domaine intouchable, impossible à réformer ? Voici la première enquête politique, économique, sociologique et scientifique sur une activité fortement ancrée dans nos traditions, activité qui met aussi en cause nos libertés. Dans ce débat passionné, qui a raison et qui a tort ? Didier Buffin et Alain Froissart publient un ouvrage aussi vivant que documenté qui intéressera autant les adeptes de la gibecière et les membres de l’un de nos plus puissants « lobbys », que leurs adversaires. De quoi nourrir toutes les polémiques.
Sport national ? 1 850 000 chasseurs se promènent en France chaque automne, fusil en main, à travers champs et bois. Pourquoi tant de passion ? Un homme est abattu d’une décharge de plombs parce qu’il refuse que l’on chasse sur ses terres. Une famille de promeneurs est mise en joue parce que la cueillette des champignons dérange les chasseurs. Cette enquête, menée minutieusement par deux journalistes, indique que la chasse – mais aussi le braconnage – est une véritable industrie nationale, un marché de six à huit milliards de francs par an. Connaît-on le montant de l’équipement et des frais d’une chasse à courre ? Combien dépense le chasseur « de base » ? Les arguments des chasseurs sont-ils fondés ? Les biologistes, les naturalistes affirment qu’ils ne sont pas des éléments indispensables au maintien de l’équilibre des espèces et qu’ils ne gèrent qu’une partie de la faune, n’accordant de l’intérêt qu’au gibier. Pourquoi les autorités ferment-elles les yeux sur les chasses dites traditionnelles – filets, lacets – théoriquement interdites, mais finalement largement tolérées dans certains départements ? La chasse aurait-elle, comme l’affirment les ethnologues, une fonction tellement symbolique, qu’elle constituerait un domaine intouchable, impossible à réformer ? Voici la première enquête politique, économique, sociologique et scientifique sur une activité fortement ancrée dans nos traditions, activité qui met aussi en cause nos libertés. Dans ce débat passionné, qui a raison et qui a tort ? Didier Buffin et Alain Froissart publient un ouvrage aussi vivant que documenté qui intéressera autant les adeptes de la gibecière et les membres de l’un de nos plus puissants « lobbys », que leurs adversaires. De quoi nourrir toutes les polémiques.

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