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Mots et marées 01

Par Taveira,Carlos
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Pedro Da Silva est traditionnellement considéré par Postes Canada comme le premier facteur canadien. Coïncidence signifiante ou pur hasard, ce roman est lancé au moment où Postes Canada a décidé de finir avec ce métier. Il naquit à Lisbonne vers 1647, s'installa au Canada vers 1673, maria Jeanne Greslon dite Jolicoeur, une Canadienne avec laquelle il eut une nombreuse descendance. Il décéda à Québec le 2 août 1717. Il est l'ancêtre de tous ceux qui portent le nom Dassylva (et ses dérivés) et d'une bonne partie des « Portugais ». Le roman s'ouvre sur l'arrivée de Pedro Da Silva à Québec et raconte son parcours de vie en compagnie de nombreux personnages historiques ou fictifs. Du même souffle, on dévoile l'existence d'une communauté oubliée : cinq habitants portugais, qui ont vécu à Charlesbourg, Beauport et Québec. L'intrigue repose sur des faits connus de la vie de Pedro Da Silva, dont les nombreux vides sont comblés par l'imagination. Le lecteur traverse quelques évènements marquants des débuts de l'histoire canadienne : l'arrivée de Frontenac, la guerre avec les Iroquois, l'attaque des Bostoniens à Québec, le danger des voyages sur le Saint-Laurent… Même si certains personnages importants de l'histoire de la Nouvelle-France font périodiquement irruption, l'action se développe surtout au cabaret et parmi le peuple : paysans, miliciens, donnés (des Jésuites), colons agriculteurs et coureurs de bois. Les Indiens sont omniprésents, et un effort a été fait pour respecter la nomenclature originale des nations autochtones, en tenant compte des factions britannique et française. Ainsi, on utilise la désignation Wendats au lieu de Hurons, Nundawaonos ou Tsonnontouans plutôt que Sénèques ou Sénécas. Les rapports entre Pedro et sa bouillante épouse, Jeanne Greslon dite Jolicoeur, occupent une place importante dans cette prose qui relève de l'uchronie, un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l'Histoire.

Pedro Da Silva est traditionnellement considéré par Postes Canada comme le premier facteur canadien. Coïncidence signifiante ou pur hasard, ce roman est lancé au moment où Postes Canada a décidé de finir avec ce métier. Il naquit à Lisbonne vers 1647, s'installa au Canada vers 1673, maria Jeanne Greslon dite Jolicoeur, une Canadienne avec laquelle il eut une nombreuse descendance. Il décéda à Québec le 2 août 1717. Il est l'ancêtre de tous ceux qui portent le nom Dassylva (et ses dérivés) et d'une bonne partie des « Portugais ». Le roman s'ouvre sur l'arrivée de Pedro Da Silva à Québec et raconte son parcours de vie en compagnie de nombreux personnages historiques ou fictifs. Du même souffle, on dévoile l'existence d'une communauté oubliée : cinq habitants portugais, qui ont vécu à Charlesbourg, Beauport et Québec. L'intrigue repose sur des faits connus de la vie de Pedro Da Silva, dont les nombreux vides sont comblés par l'imagination. Le lecteur traverse quelques évènements marquants des débuts de l'histoire canadienne : l'arrivée de Frontenac, la guerre avec les Iroquois, l'attaque des Bostoniens à Québec, le danger des voyages sur le Saint-Laurent… Même si certains personnages importants de l'histoire de la Nouvelle-France font périodiquement irruption, l'action se développe surtout au cabaret et parmi le peuple : paysans, miliciens, donnés (des Jésuites), colons agriculteurs et coureurs de bois. Les Indiens sont omniprésents, et un effort a été fait pour respecter la nomenclature originale des nations autochtones, en tenant compte des factions britannique et française. Ainsi, on utilise la désignation Wendats au lieu de Hurons, Nundawaonos ou Tsonnontouans plutôt que Sénèques ou Sénécas. Les rapports entre Pedro et sa bouillante épouse, Jeanne Greslon dite Jolicoeur, occupent une place importante dans cette prose qui relève de l'uchronie, un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l'Histoire.

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