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Je ne veux pas mourir seul

Par COURTEMANCHE, GIL
XLV426692
(9782764630280)

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Un homme apprend la même semaine que sa femme le quitte et qu’il est atteint d’un cancer. Laquelle de ces deux morts annoncées est la plus redoutable ? Quelles raisons aurait-il désormais de se battre pour sa vie ? Ce livre, le plus personnel que Gil Courtemanche nous ait donné, nous montre un homme seul devant la mort, seul devant la vie, qui lance un bouleversant cri de douleur, un pressant appel à ne pas laisser échapper cette vie. C’est aussi, surtout, une fabuleuse déclaration d’amour. « Ce n’est jamais la première, la première femme, c’est souvent la dernière. Elle est la première dans le sens de naissance, de découverte, d’abandon. C’est Ève, mère et compagne de tout. Un bateau aussi sur une mer démontée, la musique que l’âme imaginait et que l’on entend soudain. Le bruit de ses pas n’est pas le son de souliers sur le trottoir ou dans le couloir, le bruit de ses pas annonce la vie qui revient, le bruit de ses pas fredonne une chanson heureuse et langoureuse. Les yeux de la première femme ne sont pas des yeux, ils inventent un regard tout comme sa parole dicte un monde dans lequel l’homme se fond avec délice et respect. La première femme est la mère de l’homme, cette mère qui l’enfante une deuxième fois. Voilà ce que fut et est encore Violaine pour moi. »

Un homme apprend la même semaine que sa femme le quitte et qu’il est atteint d’un cancer. Laquelle de ces deux morts annoncées est la plus redoutable ? Quelles raisons aurait-il désormais de se battre pour sa vie ? Ce livre, le plus personnel que Gil Courtemanche nous ait donné, nous montre un homme seul devant la mort, seul devant la vie, qui lance un bouleversant cri de douleur, un pressant appel à ne pas laisser échapper cette vie. C’est aussi, surtout, une fabuleuse déclaration d’amour. « Ce n’est jamais la première, la première femme, c’est souvent la dernière. Elle est la première dans le sens de naissance, de découverte, d’abandon. C’est Ève, mère et compagne de tout. Un bateau aussi sur une mer démontée, la musique que l’âme imaginait et que l’on entend soudain. Le bruit de ses pas n’est pas le son de souliers sur le trottoir ou dans le couloir, le bruit de ses pas annonce la vie qui revient, le bruit de ses pas fredonne une chanson heureuse et langoureuse. Les yeux de la première femme ne sont pas des yeux, ils inventent un regard tout comme sa parole dicte un monde dans lequel l’homme se fond avec délice et respect. La première femme est la mère de l’homme, cette mère qui l’enfante une deuxième fois. Voilà ce que fut et est encore Violaine pour moi. »

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