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Les Entreprises et la Gauche

Par BORZEIX, JEAN-MARIE
978-2-234-10534-8
(9782234105348)

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Qui n'a pas, toute prête, sa réforme de l'entreprise ? Les patrons très progressistes, les patrons progressistes malgré tout, les centristes, la C.F.T.C.... ont chacun leur projet. Celui-ci, pourtant, est différent de tous les autres. Élaboré par les cadres de Socialisme et entreprise, c'est un mélange explosif parce qu'il est, à la fois, révolutionnaire et pragmatique. Révolutionnaire, il prévoit de faire de l'entreprise privée — dès la victoire de la Gauche — l'école de l'autogestion. Pragmatique, il écarte délibérément tout rêve d'un grand soir social. Demain ne sera plus comme avant, mais ce seront encore les capitalistes d'aujourd'hui qui tiendront la barre. Il s'agit pour Socialisme et entreprise d'armer les travailleurs de contre-pouvoirs assez puissants, pour leur permettre de déclencher une dynamique irréversible. Mais des contre-pouvoirs qui ne risquent pas de les faire dériver vers un illusoire partage de l'autorité dans l'entreprise, et de paralyser la machine industrielle. Visionnaires autant que gestionnaires, les cadres de Socialisation et entreprise sont dangereux. Pour le régime capitaliste.
Qui n'a pas, toute prête, sa réforme de l'entreprise ? Les patrons très progressistes, les patrons progressistes malgré tout, les centristes, la C.F.T.C.... ont chacun leur projet. Celui-ci, pourtant, est différent de tous les autres. Élaboré par les cadres de Socialisme et entreprise, c'est un mélange explosif parce qu'il est, à la fois, révolutionnaire et pragmatique. Révolutionnaire, il prévoit de faire de l'entreprise privée — dès la victoire de la Gauche — l'école de l'autogestion. Pragmatique, il écarte délibérément tout rêve d'un grand soir social. Demain ne sera plus comme avant, mais ce seront encore les capitalistes d'aujourd'hui qui tiendront la barre. Il s'agit pour Socialisme et entreprise d'armer les travailleurs de contre-pouvoirs assez puissants, pour leur permettre de déclencher une dynamique irréversible. Mais des contre-pouvoirs qui ne risquent pas de les faire dériver vers un illusoire partage de l'autorité dans l'entreprise, et de paralyser la machine industrielle. Visionnaires autant que gestionnaires, les cadres de Socialisation et entreprise sont dangereux. Pour le régime capitaliste.

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