Elisabeth

A la mort de sa soeur aînée, la jeune fille d'Henry VIII et d'Anne Boleyn accède au trône d'Angleterre dans un climat d'incertitude et de contestation. Surnommée « Gloriana » ou « La reine vierge » pour les allures de sainte qu'elle adopte, Elisabeth Première est appelée à donner un nouveau souffle à son royaume mis à feu et à sang par l'infâme « Bloody Mary ». Celle qu'on dit être pure et intouchée a le don de séduire. Elle refuse pourtant de se donner toute entière à ses nombreux et distingués prétendants – parmi lesquels François, prince de France et duc d'Alençon, le corsaire et explorateur William Raleigh ainsi que William Shakespeare lui-même. Au jeu dangereux de la courtisanerie, certains d'entre eux perdent leur magnificence, de leur influence… et d'autres, leur vie. Au-delà du mythe, en sillonnant les amours passionnées et parfois tumultueuses de la reine, on trouve une femme qui, quoique brillant stratège et maître de sa personne, n'en connut pas moins les débordements de la chair. Pour Elisabeth et les hommes de son entourage, la rage de vivre était d'autant plus intense que la mort par la peste, la corde ou la hache planait constamment sur tous.
A la mort de sa soeur aînée, la jeune fille d'Henry VIII et d'Anne Boleyn accède au trône d'Angleterre dans un climat d'incertitude et de contestation. Surnommée « Gloriana » ou « La reine vierge » pour les allures de sainte qu'elle adopte, Elisabeth Première est appelée à donner un nouveau souffle à son royaume mis à feu et à sang par l'infâme « Bloody Mary ». Celle qu'on dit être pure et intouchée a le don de séduire. Elle refuse pourtant de se donner toute entière à ses nombreux et distingués prétendants – parmi lesquels François, prince de France et duc d'Alençon, le corsaire et explorateur William Raleigh ainsi que William Shakespeare lui-même. Au jeu dangereux de la courtisanerie, certains d'entre eux perdent leur magnificence, de leur influence… et d'autres, leur vie. Au-delà du mythe, en sillonnant les amours passionnées et parfois tumultueuses de la reine, on trouve une femme qui, quoique brillant stratège et maître de sa personne, n'en connut pas moins les débordements de la chair. Pour Elisabeth et les hommes de son entourage, la rage de vivre était d'autant plus intense que la mort par la peste, la corde ou la hache planait constamment sur tous.