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J'ai connu un prince, Luis Mariano

Par Chardans, Jean-Louis
978-2-7103-9524-9
(9782710395249)

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978-2-7103-9526-3
(9782710395263)
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A son public Luis Mariano toujours a voulu tout donner. Avec la prodigalité de la cigale, une cigale qui chantait tout l’été, tout l’automne, tout l’hiver et tout le printemps. Et c’est pour ça qu’on l’aimait. Il a été, pendant trente ans, la vedette que le public a aimée avec le plus de passion, une passion souvent abusive, toujours réconfortante, une passion dont il avait besoin pour vivre, et qui a survécu à sa fin si brutale. Seul peut-être dans l’histoire du spectacle Rudolf Valentino aux États-Unis a connu de son public le même culte posthume. La gloire de Luis Mariano brille toujours comme brillent ces étoiles éteintes, dont la lumière n’a pas fini de nous parvenir. C’est très émouvant la mort d’une étoile. Surtout quand elle n’a été à sa naissance qu’une parmi les mille fusées jaillies au milieu d’une fête des banderilles d’un “toro de fuego”.
A son public Luis Mariano toujours a voulu tout donner. Avec la prodigalité de la cigale, une cigale qui chantait tout l’été, tout l’automne, tout l’hiver et tout le printemps. Et c’est pour ça qu’on l’aimait. Il a été, pendant trente ans, la vedette que le public a aimée avec le plus de passion, une passion souvent abusive, toujours réconfortante, une passion dont il avait besoin pour vivre, et qui a survécu à sa fin si brutale. Seul peut-être dans l’histoire du spectacle Rudolf Valentino aux États-Unis a connu de son public le même culte posthume. La gloire de Luis Mariano brille toujours comme brillent ces étoiles éteintes, dont la lumière n’a pas fini de nous parvenir. C’est très émouvant la mort d’une étoile. Surtout quand elle n’a été à sa naissance qu’une parmi les mille fusées jaillies au milieu d’une fête des banderilles d’un “toro de fuego”.

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