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L'adoration des mages

Par Londeix, Georges
978-2-402-21224-3
(9782402212243)

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978-2-402-54557-0
(9782402545570)
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Le narrateur nous raconte son expérience de Florence où il vit. « L'Evangile, la peinture, les belles collines, tout ce qui s'est écrit sur le sujet, c'est de l'hébreu, pour moi ! » Il ne juge ni ne condamne. Simplement, il veut comprendre. Il se présente comme « le témoin idiot », le « touriste moyen ». Par là, le livre serait d'abord un anti-Stendhal, un anti-Taine, un anti-Elie Faure, etc. Mais il se heurte au piège des mots. Chaque phrase de ce livre si dense est une protestation contre « les mots éternels » qui engendrent des fictions qu'il dénonce sans pitié. Une seule de ces fictions, justement parce qu'elle accepte l'ordre traditionnel, se développera jusqu'au dernier chapitre. Il s'agit d'un « conte boccacien », sur le thème des aventures d'un jeune paysan venu à la ville. Georges Londeix use de tous les moyens pour tenir son lecteur en éveil, engager un vrai dialogue avec lui. « L'Adoration des Mages » est : une peinture, plusieurs, qui renvoient à Noël, puis à une autre fête, païenne, au paysage toscan inspiré d'une scène historique, d'une image, d'un texte. Peu à peu, le lieu de ce roman se déplace vers « un lointain Orient ». Georges Londeix, par le subterfuge, sans cesse refusé et accepté, de la métamorphose et des mots, nous entraîne dans un domaine inexploré et nous fait partager son angoisse. « L'Adoration des Mages » constitue une expérience nouvelle et autonome de la littérature et se situe dans une certaine avant-garde du roman contemporain. C'est un livre qui peut faire date.
Le narrateur nous raconte son expérience de Florence où il vit. « L'Evangile, la peinture, les belles collines, tout ce qui s'est écrit sur le sujet, c'est de l'hébreu, pour moi ! » Il ne juge ni ne condamne. Simplement, il veut comprendre. Il se présente comme « le témoin idiot », le « touriste moyen ». Par là, le livre serait d'abord un anti-Stendhal, un anti-Taine, un anti-Elie Faure, etc. Mais il se heurte au piège des mots. Chaque phrase de ce livre si dense est une protestation contre « les mots éternels » qui engendrent des fictions qu'il dénonce sans pitié. Une seule de ces fictions, justement parce qu'elle accepte l'ordre traditionnel, se développera jusqu'au dernier chapitre. Il s'agit d'un « conte boccacien », sur le thème des aventures d'un jeune paysan venu à la ville. Georges Londeix use de tous les moyens pour tenir son lecteur en éveil, engager un vrai dialogue avec lui. « L'Adoration des Mages » est : une peinture, plusieurs, qui renvoient à Noël, puis à une autre fête, païenne, au paysage toscan inspiré d'une scène historique, d'une image, d'un texte. Peu à peu, le lieu de ce roman se déplace vers « un lointain Orient ». Georges Londeix, par le subterfuge, sans cesse refusé et accepté, de la métamorphose et des mots, nous entraîne dans un domaine inexploré et nous fait partager son angoisse. « L'Adoration des Mages » constitue une expérience nouvelle et autonome de la littérature et se situe dans une certaine avant-garde du roman contemporain. C'est un livre qui peut faire date.

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