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L'amour ses couteaux précédé de Les chambres orphelines

Par FOREST, ISABELLE
978-2-89645-245-3
(9782896452453)

Format PDF
(9782896452453)
Numérique

L’amour ses couteaux est une célébration de l’amour malgré le caractère tragique des destinées et les absurdités du monde. Deux personnages, appelés simplement Il et Elle, trouvent l’amour malgré l’absurdité de la guerre et l’absence de solution pour en sortir. Elle rêve qu’« après les paupières et les balles perdues/le ciel enfin tombera/avec ses «je t’aime» guettés depuis longtemps »; tandis que lui sait « que le travail des hommes(…)/n’est peut-être jamais rien d’autre/qu’une ligne droite vers la mort ». Elle et lui, semblables, se rencontrent : « leurs mains se sont cherchées/ - les cœurs étaient venus seuls - ». Ensemble ils ont tenté de répondre à la simple question de leur existence : « comment avaler cette mort et rester debout dans la stupeur d’aimer » Quant aux Chambres orphelines, elles présentent l’amour dans un tout autre contexte. Dans ce recueil, l’amour est une blessure d’enfance dont « on reprend la lecture/voilà que le jour se dresse sur notre visage/notre corps emporté de nouveau par de fragiles récits ». Et l’amour se termine ici dans la douleur : « au bout de ses doigts la vie à grand-peine retient ses amarres sept ans déchirés broyés comme la craie sur le tableau noir d’une famille »
L’amour ses couteaux est une célébration de l’amour malgré le caractère tragique des destinées et les absurdités du monde. Deux personnages, appelés simplement Il et Elle, trouvent l’amour malgré l’absurdité de la guerre et l’absence de solution pour en sortir. Elle rêve qu’« après les paupières et les balles perdues/le ciel enfin tombera/avec ses «je t’aime» guettés depuis longtemps »; tandis que lui sait « que le travail des hommes(…)/n’est peut-être jamais rien d’autre/qu’une ligne droite vers la mort ». Elle et lui, semblables, se rencontrent : « leurs mains se sont cherchées/ - les cœurs étaient venus seuls - ». Ensemble ils ont tenté de répondre à la simple question de leur existence : « comment avaler cette mort et rester debout dans la stupeur d’aimer » Quant aux Chambres orphelines, elles présentent l’amour dans un tout autre contexte. Dans ce recueil, l’amour est une blessure d’enfance dont « on reprend la lecture/voilà que le jour se dresse sur notre visage/notre corps emporté de nouveau par de fragiles récits ». Et l’amour se termine ici dans la douleur : « au bout de ses doigts la vie à grand-peine retient ses amarres sept ans déchirés broyés comme la craie sur le tableau noir d’une famille »

Détails

    • Section : -
    • Parution : 2013-05-01
    • Collection : -

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